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Women we share l'asbl

Puis j'ai eu envie, besoin de mettre tout "ça" en avant. 

"Ca", ... Ces énergies, ces lumières, ces histoires, nos histoires.

De ne plus garder sur mes petites cartes les portraits que je réalisais, les femmes que je rencontrais.

 

J'ai eu le besoin d'ouvrir ces boîtes, peut-être pour être moins seule, peut-être parce que c’était le bon moment, sans doute parce quelque part, je n'étais pas seule, elles étaient là et attendais comme moi que nous soyons.

Et il y avait tout ça, tout ce qu'elles font, ce qu'elles sont, et surtout ce qu'elles ne font pas, mais que le marketing voudrait qu'elles fassent.

Alors, non, elles ne font pas que se maquiller sauf si elles en ont l'envie...

Alors non, elles ne font pas que faire régime ou acheter des crèmes, sauf si elles en ont l'envie...

 

​Au fond, il y avait pour moi, qui ai stagné dans l'univers du cosmétique pendant tant d'années, toute cette dissonance entre le réel et une hypothétique projection crée par la segmentation par la re-segmentation, par la sur segmentation...

Et cette nécessité de réunifier, de raconter au travers d'autres regards.

Puis, combien de fois n'ai-je pas entendu... "Je ne m'aime pas en photo"

Cette phrase sonne pour moi le trouble, le refus d’être soi peut être, le malaise de porter ce corps, ce visage, allant jusqu'au petit détail, "un grain de peau", "un nez trop haut", "un œil trop bas", ...

Avec cette question qui me brûle les lèvres... Mais par rapport à qui, à quoi...?

 

Serait-ce le reflet de ce qu'on nous a mis en tête, ne plus être nous au point de ne pas aimer notre image ? Ne pas aimer notre image au point de ne plus être nous.

Là ou moi, je vois cette unicité qui nous caractérise,là ou je dépose à travers mon objectif des images de femmes lumineuses, réfléchies, drôles, pensives, créatives, ... Là ou je vois des couleurs, de la vie, de l'amour, de la peine qu'ensemble nous accueillons.

Avec l'association nous travaillons ce levier de l'acceptation de soi et permettons à chacune, si elle le souhaite, de s'autoriser à être qui elle est. Nous renforçons ce "qui" , nous nous enrichissons de toute cette merveilleuse gamme de différence qui nous ouvre les yeux à ce "Je suis l'autre" et qui peut être au fond nous renvoi à nos propres croyances, limites, épreuves.

 

Alors j’ai créé L’ASBL Women We Share, pour visibiliser les Femmes, la femme, son œuvre, ses créations. Pour partager, son art, son énergie, sa connaissance pour tisser du lien entre nous, pour nous renforcer et enfin pour nous intégrer à l'histoire de demain, à notre histoire d'humain. Mais aussi quelque part pour nous réconcilier avec l'image, notre propre image et la mettre en résonance avec l'image qu'ont les autres de nous.

En est né "Légitimes" le livre et les expos.

Une mise en photo de 29femmes ,1 personne non binaire et 5 collectifs de femmes féministes, qui font bouger les barrières, les états de pensées d'une société Patriarcal encrée. Des personnalités qui œuvrent dans des domaines culturels, associatifs, sportif, entrepreneurial, ou encore de la santé.

Et en partenariat avec Culture et Santé dés avril 2023 arrivera le support pédagogique

Retrouvez ici différents articles de presse, vidéos,.. qui retrace la lumière des évènements :

Avec Tv Com au CC d'Ottignies lors de l'exposition de mars 2023

Au Mundaneum lors de l'exposition "Portrait de femmes, des récits pour une Histoire" dans cet article Rtbf aussi

Lors de l'interview sur Bxfm

En sont nés des ateliers d'apprentissage aux bases de la photographie à destination des femmes pour les aider à utiliser leur appareil photographique, mais aussi pour partager des moments autour de l'image et qui sait pour penser leur représentation.

En est né un club de femmes photographes qui repensent la représentation et l'objectification des femmes dans la société mais aussi dans la photographie en particulier.
 

L'Asbl grandit chaque jour un peu plus autour de nouveau projet, moment de rencontre, alors pour plus d'infos sur ce "Nous", visitez le site web : www.womenweshare.com

Titre 5

Nos autres réalisations

Des clics rose

Une série à quatre photographe qui met en lumière des femmes touchée par le cancer du sein.

Une semaine sur deux?

Une série est née du besoin de mettre en lumière la réalité, la diversité et les difficultés ou bonheur rencontrés par les familles monoparentales.

Des projets à découvrir sur www.womenweshare.com

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